Ce que l\'éternel m\'a révélé...

Mon premier songe concernant la Côte d'Ivoire

 

 

 

 

 

 

Ce fut en 2004 que je reçus, émanant d’un songe singulier, mon premier grand message relatif à la crise qui secoue la Côte d’Ivoire. « La tristesse m’envahit et j’eus les larmes aux yeux lorsque j’aperçus l’avion du président Gbagbo abattu en  l’air. Mais ma joie ressortit quand je réalisai que l’avion était vide. Je vis ensuite une foule compacte de patriotes qui rentraient dans une forêt. Ils avaient l’allure de guerriers. Je revis ces patriotes ressortir de la forêt. Ils étaient très enthousiasmes comme s’ils venaient de remporter une bataille. Chacun d’entre eux cherchait un moyen individuel pour regagner son domicile. Je constatai que j’étais parmi ces patriotes-là, je fis un auto-stop et je rentrai chez moi. » Quelques mois après, mon songe se réalisa tel que prédit. Ainsi, en novembre2004, l’armée ivoirienne avait lancé « l’opération dignité I » pour se débarrasser de la rébellion qui occupait la moitié de Côte d’ivoire. C’est la ville de Bouaké, le bastion de la rébellion armée, qui avait été la première cible de ladite opération. Elle empruntait la voie du succès, d’autant que les forces de défense et de sécurité avaient mis les rebelles en déroute et réoccupé tout Bouaké. Mais l’armée française s’est interposée en pilonnant tous les MI-24 et les autres avions de combat stationnés au sol. Ces engins étaient vides.  L’ex-président de la France, Jacques Chirac, cherchant à justifier son acte insensé, signifia qu’un MI-24 avait bombardé des positions de l’armée française à Bouaké, tuant dix soldats français. Or, il n’en était rien de tout cela. C’était une grotesque machination pour empêcher que l’armée ivoirienne libère le Côte d’ivoire de ces rebelles. La France avait fait obstacle à « l’opération dignité I » parce qu’elle était la génératrice de cette rébellion armée, parrainée par Dramane Allassane Ouattara. Sorro Guillaume et ses acolytes criminels étaient de simples exécutants.  Revenons à l’ignoble besogne de la France dont mon songe fit cas et qui se réalisa. L’armée  Française, après avoir pilonné les avions ivoiriens de combat, se dirigea vers la résidence du président Gbagbo. L’alerte fut lancée! La souveraineté de la Côte d’Ivoire était menacée, chaque ivoirien avait le devoir de défendre sa patrie en danger. Les patriotes ivoiriens étaient, spontanément, sortis de tous les quartiers d’Abidjan  pour faire un immense cordon guerrier tout autour de la résidence présidentielle. Chaque patriote se détermina pour se constituer «chair à canon» contre cette armée française qui voulut enlever le président Gbagbo et imposer Dramane Allassane Ouattara comme président de la Côte d’ivoire, son pays d’adoption.  Il eut beaucoup de patriotes tués aux alentours de la résidence du président Gbagbo, sise à Cocody. De nombreux  morts dans d’autres communes d’Abidjan et de l’intérieur du pays. Par ailleurs, Cocody fut principalement le théâtre des meurtres de Jacques Chirac, qui actionna ses snipers et ses Puma de combat. Malgré les tueries de la France, la détermination du peuple ivoirien était tellement pressante que l’armée française fut contrainte de capituler. Elle quitta toutes les positions qu’elle avait occupées dans le rayon de la résidence présidentielle. C’est ainsi donc, le président Gbagbo annonça à la télévision la victoire du peuple ivoirien et demanda aux patriotes de regagner leurs domiciles respectifs. Chacun recherchait un moyen individuel pour retourner à la maison. Quant à moi je fis un auto-stop, un véhicule militaire me déposa à Yopougon.  (Est-ce que mon songe ne s’était-il pas réalisé comme prédit?) 



24/04/2012
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