Ce que l\'éternel m\'a révélé...

Des Gendarmes frapperont, et l’ombre du colonel Konan achèvera Ado

J’ai fait un songe, deux mois après mon exil forcé. Je l’avais soigneusement gardé en moi espérant qu’il s’accomplirait le plus tôt possible. Mais Dieu fait  toute chose en son temps. Aujourd’hui, la force spirituelle qui me domine voudrait que je le révèle à l’opinion publique. Au départ, de bonnes gens m’avaient déconseillé de rendre ce songe public. Je comprends leur inquiétude, mais l’esprit me recommande de le dévoiler  maintenant: « Des gendarmes, soutenus après par le régiment du colonel Konan Boniface, favoriseront la fin du régime Ado. » Avant de faire connaître ce songe, devrais-je d’abord signifier que j’ai récemment eu une vision où le colonel Konan Boniface était si triste de voir les éléments Fds être ridiculisés et banalisés par les ex-forces rebelles pro-Ouattara devenues l’armée régulière ivoirienne, ce, grâce au concours de l’armée française. Il était profondément affecté par la manière dont Dramane Ouattara traite les gendarmes, les militaires, les policiers, les commandos marins, la population opprimée, et particulièrement le cas de ces centaines de militaires exilés dans les pays de la sous-région. Et sur ce, ma vision se termina : « Le colonel Konan Boniface se plaignait de l’incapacité d’Ado à gérer l’armée ivoirienne et de la façon dont ce dernier a foulé au sol l’éthique noble qui caractérisait le militaire, le gendarme et le policier. Il décriait fermement cette nouvelle composition de l’armée ivoirienne dont fait désormais massivement partie des ex-rebelles burkinabé. Par conséquent, il s’interrogeait sur la mesure à tenir face à cette impopularité des militaires pro-Ouattara, dont des caporaux sont aujourd’hui ses chefs sans aucune formation régulière. Aussi, comment pourrait-il restaurer l’image ternie de l’armée ivoirienne. Une armée si malade de cette hiérarchie Frci, exagérément promue au dépend des Fds. »

C’est alors après la vision susdite que l’esprit de Dieu m’a saisi pour révéler, au grand jour, ce songe qui suit.

« J’ai vu des gendarmes armés qui sillonnaient dans un quartier où se trouve un camp commando. La population n’était pas apeurée, et elle semblait ne pas voir ces éléments en armes. Moi, j’observais les mouvements bien orchestrés de ces gendarmes. Et puis, je constatai que la ville était déserte. Je vis le colonel Konan assis sur un siège en béton, et il y avait sous ses pieds un ex-rebelle Frci qui gémissait dans une marre de sang. Ensuite, la presse, moi et bien d’autres personnes étions autour de lui. Il était un peu débordé, surtout par la presse. Pour finir, tout heureux, j’ai tiré l’attention du colonel Konan en m’approchant davantage de lui. Et je lui ai dit : Donne-moi ton numéro, je dois te joindre après car c’est à moi qu’il revient d’écrire l’histoire de la Côte d’Ivoire. Il m’a donné son calepin où son contact s’y trouvait. J’ai vu son numéro téléphonique…. Et je me suis réveillé »

Ce songe a, faut-il le faire savoir, une interprétation à deux volets.

Le premier, c’est que le mécanisme de la chute du régime d’Ado sera enclenché par les gendarmes sans que les Frci aient vent de comment cela se préparerait.

Ce que j’avance est corroboré dans ce passage : « J’ai vu des gendarmes armés qui sillonnaient dans un quartier où se trouve un camp commando. La population n’était pas apeurée, et elle semblait ne pas voir ces éléments en armes. Moi, j’observais les mouvements bien orchestrés de ces gendarmes. »

En sus, le colonel Konan sera le catalyseur de la débâcle des Frci. L’honneur appartiendra donc aux commandos marins qu’il a pour la plupart formés ou commandés. Tel le montre:« Je vis le colonel Konan assis sur un siège en béton, et il y avait sous ses pieds un ex-rebelle Frci qui gémissait dans une marre de sang… Il (colonel Konan) était un peu débordé, surtout par la presse  »

Et le deuxième volet, ce songe révèle que les gendarmes vont servir de boussole et d’appui aux militaires qui, dont plusieurs commandos marins, engageront une véritable guerre contre les forces armées pro-Ouattara. Les attaques répétées et les tueries des Frci, perpétrées par le « commando invisible », ne sont conséquemment pas la reprise de la guerre que dévoilent les prophéties. La véritable guerre contre les Frci est ainsi donc en cours.

En outre, Abéhi, Konan et Gouanou n’en feront pas partie, cependant leurs ombres influenceront l’issue de cette guerre qui se fera entre leurs ex-éléments et les forces Frci pro-Ouattara …